L’Iran a expérimenté deux années de récession à cause des sanctions économiques, puis il a connu une croissance positive en 2014. Le secteur public (qui contrôle près de 80% de l’économie iranienne) domine le pays, tandis que le secteur privé est limité. L’économie dépend fortement des revenus pétroliers. Le gouvernement a ouvert de nombreux secteurs à l’investissement étranger. Des secteurs principaux (automobile et construction) ont subi un ralentissement. Le système bancaire du pays est très fragile, mais la levée des sanctions favorisera probablement une reprise économique. Le secteur public n’a pas assez de ressources pour créer l’emploi, donc on ne réussit pas à réduire le taux de chômage, qui représente plus de 30% chez les jeunes. L’inflation génère des problèmes sociaux et l’exode de la population.